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 Débilitudes

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AuteurMessage
Tyki Mikk
L'Incarnation du Plaisir
Tyki Mikk


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MessageSujet: Débilitudes   Débilitudes Icon_minitimeDim 31 Jan - 21:50

Une envie de dire n'importe ? Pris de crise de débilitudes ? Et bien c'est là !


Je veux pas travailler, c'est nul, ça me prend le choux, et surtout je suis pas en état. En pleine crise de débilitude. Croyez moi c'est horrible, ça s'imprègne en vous et ça vous colle comme un sac poubelle emmêlé autour du coup qui vous étouffe et ne veux pas vous lâcher. C'est vicieux, petit, et malheureusement indécelable et incurable. C'est frénétique et ça vient, vous n'avez pas envie de vous arrêter d'écrire, les personne autour de vous se demande si vous allez bien, vous taper si fort sur les touches qu'on se demande même ce qui peut bien faire ce bruit, ça ne veut pas s'en aller, ça reste, ça vous grise, vous pensez à tout un tas de choses auquel auparavant vous ne pensiez pas, c'était si futile, et si petit que ça ne rentrait pas dans votre considération, c'est vrai quoi, après tout ce n'est qu'un délire de personne trop débile pour une vie débile, c'est une reflet de notre personnalité, tenez mon frère qui s'en va de ma chambre et descend les escaliers faisant bien grincer les marches, c'est un abrutis aussi, le matin ou les jours d'après quand vous regarderez à nouveau cette page vous vous direz mon dieu que je suis bête et idiote à manger du foin, pire qu'un grosse vache qui produit des tas et des tas de méthane, elle pollue la bigre, elle pollue sacrément et s'en fous, comme vous, comme moi.

Moi je m'en fous aussi de ce que je fais où ne fais pas, peut être, je ne sais pas, et puis ce clignotement orange qui m'indique qu'un gens sur msn me parle, peut être qu'il me parle ou me hurle, me chuchote et me murmure, me danse et me chante, peut être peut être pas, tout est relatif, et on ne peux pas vraiment savoir ce qui se cache derrière le visage de quelqu'un, ce qu'il ressent et pense vraiment, il peut vous mentir, vous oubliez après comme une page que l'on déchire parce qu'a sa surface on a écris une chose qui nous déplaît, on est tous potentiellement l'ami de rechange de quelqu'un, on peut tous se parler , tous se voir, tous se toucher et être ensemble, si on en a vraiment envie, mais nous somme prisonnier de chose immatérielle qui nous serre et nous serre comme le ferait si bien un carcan, carcan l'ami d'abyssale, quelque chose de profond que l'on ne peut distinguer vraiment tellement sa profondeur est immense et incertaine. Ces choses immatérielles, ces barrières, ces freins, je tombe dans le mélodramatique là, elles sont si violemment attaché à nous qu'en brisé une, nous ferait du mal et nous attristerait sans que l'on sache pourquoi. Je dis des choses, des autres, qui ont du sens ou pas, des phrase qui s'amoncelle en paragraphe, dans des gros pâtés de lettres que jamais, très certainement jamais personne ne lira à part moi. Non c'est faux, l'idée est fausse, ce n'est pas vrai, c'est un mensonge, je suis prise également dans les faux semblants que mon esprit se plaît à m'imposer. Mais c'est le mien non, c'est moi qui devrait lui imposer des choses, ma conscience elle me prend et elle me dirige comme un gentil soldat et un toutou qui attend son os, tout ça pour paraître quelque chose que je ne suis pas. Mon identité, ce que je suis, je n'en sais rien, je mens tout le temps, les gens ne le savent pas mais je le fais, il voudrai me voir d'un certaine manière, j'essaye de résister de m'imposer, moi et pas le reste, mais le reste m'emporte et me montre de la façon qui leur plaît, à chaque fois pour leur petit plaisirs à eux pour nourrir leur égo, alors qu'eux ne sont pas plus avancé que moi qu'ils ne sont pas mieux que moi au fond. Eux il font comme si il réussissait, comme si ceux qu'ils montrent est bien ce qu'ils croient être mais ça aussi c'est un mensonge. Ils sont aussi perdues. Mais quelque chose dans ma faiblesse les rassure et les ragaillardissent dans leur erreur, l'erreur qu'ils ont de ne pas être ce qu'il sont. Je vois ces mots, je me demande si ce que je dis reflète ce que je pense, si mon âme qui parle à présent est ce qu'elle veut être, une stupide question, se voir et se chercher c'est difficile, oui mais pourquoi, parce que les humains sont complexes, et ont tous cette erreur qui nous permet de réfléchir, en faîte, notre non être pourrait devenir ce que nous pensons vouloir être, mais qu'est ce que je dit, j'en viens même à ne plus me comprendre et à me perdre dans les recoins de moi. Je me sens pitoyable comme criblée de mille balle, usée et aspiré comme si à l'intérieur de mon corps se retirait au fur et à mesure mes organes par petite paille, qui est la personne qui ferait ça. J'écris et je me demande, non je ne me demande pas, je souhaite me demander, me projeter et donner cet image si propre et caractériel de moi, être moi et pas moi. Pour un peu on tomberait dans les questions existentielles si ce n'est pas déjà fait. Je le désole, je ne le désole pas, je ne sais pas vraiment ce que je veux, mes doigts s'affolent et tapent toujours plus, j'ai les yeux exorbités d'une folle éclairé par la lumière de son outil d'écriture, c'est horrible, ça ne veut rien, dire, ma flamme s'éteint, doucement, je suis grisée encore, mais moins , j'ai toujours envie de dire, mais je sens que cela cesse, comme la confiture qu'on aurait trop étalé, pourtant j'ai encore envie de le faire, je veux le faire, c'est autoritaire, je ne le pense pas, mais je veux le faire. Il est sec mais pas grand, le coucher de soleil que j'aperçois de dedans, il presque descendu comme ma première page. Je suis certainement tout ce que les gens dise ce que je suis même si je veux être différente, je n'arrête pas de parler de moi et je me rend compte que d'écrire tant que ça demande du temps, et voilà qu'une nouvelle idée apparaît, ce que j'aime et j'affectionne, ce que je chéris comme étant mien, ce que je décide de faire, les garçons qui s'embrasse et se touche follement cela fait naitre en moi une agréable petite chaleur rassurante et ennivrante, dire des choses qui alignés forment une phrase et l'histoire de quelqu'un de ce qu'elle vit, ce qu'elle ressent, ses soucis, les situations dans lesquelles elle se trouve, toute seule, à deux, en train d'être plaqué contre un mur, il n'aime pas ça et pourtant apprécie d'un certaine façon, dans son dénis, c'est amusant. Encore ce orange qui reste, il dit et je n'écoute pas, parce que je ne lis pas, ça peut l'énerver, je ne sais pas, il dira certaine chose et je dériverai encore vers d'autres, je me noie dans ma marée de mot, j'aimerai que mes rêves vivent et m'emmène avec eux, ensemble, je devrai faire une chose mais je ne le fais pas, je sais que j'ai encore le temps et ne le fait pas, les gens me voit et me regarde, il me traverse et je songe au reste, à des idioties, à des blagues, à des gens, à des phrases qu'ils auraient pu dire, je dis des choses, mais ne sais même pas s'ils sont vrais, je déclare, je dit, j'ordonne, je proclame, je suis quelqu'un pour eux, ils ont une image de moi que je devine être erronée. Qu'ils se trompe les pauvres petits, je ne sais même pas qui je suis alors pourquoi le saurait-ils. C'est presque la fin fin, j'aurais atteint le but que salement je m'était fixé et ma débilité pourtant reste, là je sens que je pourrais arrêter, même si j'arrête c'est finis, ça ne reviendra pas avant longtemps, même si c'est inutiles je veux quand même continuer parce que ça me donne l'impression de quelque chose, que j'ai envie de faire, ça me lance., ça tombe et fait clac, ça tangue dans mon cerveau, j'ai mal au yeux rester autant concentrer, qui racontera ça, surement pas moi, je les trouve beau, ils sont sucrée mes paroles, pas acide comme du citron mais doux comme une pomme, ça s'écoule de votre bouche, vous en faites quelques choses, quelque part pour quelqu'un et ça sort comme est sortit le reste, c'est un défilé, je continu, jusqu'à ce que je m'essouffle, je m'étouffe, je meurt, affaiblis de tout ça, je n'aurais jamais autant parler, exprimer des choses que je n'aurait pas exprimer autrement, mais ça restera là, pour toujours, je l'effacerait ensuite comme ces personnes qu'on raye qu'on se dit, lui je peux l'oublier il n'était pas vraiment mon ami, il ne faisait rien, mais pourquoi, pourquoi, parce qu'il ne m'aimais pas, mais les personnes que j'essaye d'oublier sont celle que ma mémoire effleurent sans cesse, balançant dans mes yeux des tonnes de liquide salée qui s'écoule en continu, invisiblement, ceux que je souhaitent garder deviennent floue, et disparaisse, seul leur présence me rappelle qui ils sont, ce qu'ils font pour moi, et pourquoi, encore lui. Il me guette, lui cet indicible et terrifiant amas de déchets que devient peu à peu mon être,. Ah regardez moi, parlez si sérieusement, ça me dégoute, me répugne et il clignote encore, pour me rappeler à l'ordre, je ne sais pas si il y arrivera, ça ne veut pas se tarir, le flot qui m'envahit est toujours là et présent, maintenant que je souffle de ma bêtise, de ma conneries, de n'être, le flot peut s'agrandir et augmenter de débit, je peux parler de chose et tomber après sur un autres sujet, encore à clignoter, je souris intérieurement, il est obstinée mais une heure déjà n'ont pas voulue à me laisser conjurer le sceau de ma satanée choses, de mon truc comme tout ces truc que j'ai fait, qui n'ont servi à rien et qui ne se décide pas à me quitter, j'ai dit que je ne marquerais plus rien, je ne l'ai pas réalisé, j'ai suivie et fait suivre encore et encre, des mots déjà marqués et inscrit dans ici, ici qui n'est d'autre qu'un dépotoir de mes idée qui naissent et grandissent et périssent à grande vitesse comme les trains de nos jour, oui je finis enfin, je termine, je cesse, un, deux, trois, presque, ça ralentit petit à petit, deux heures je crois ce sont écoulée, le temps est parti, j'aurai voulu le voir, s'étreindre avec l'infini de l'espace, les étoiles, les lois de l'univers, le soleil, mon ciel bleu si sombre, les planètes. Encore, encore, il veut quelque chose assurément ou bien me dire quelque chose. Ma ronde tournois encore comme la musique qui s'éternise et fait valser la notes qui s'égrène, les gens danse, je les vois, d'autres mange, un festin, un poulet, des gâteau, au centre une dame pleine de beauté et de charme, à ses côtés, un homme couronné, magnifique, si jeune d'apparence, tenant la main de sa dame, il sourit et rit en voyant le bouffons qui chante faux, qui raconte des contes, les épopée de quelques chevalier en armures contres des dragons aux écailles vertes écœurante et à l'haleine putride, charmant, qui cherchera une belle princesse à épousée. Le roi si beau sera troublé et son visage pâle d'une peau diaphane ira se crisper lorsque que le troubadour de sa voix grave racontera une légende, un mythe, est-il possédé par un quelconque maléfice ? Le roi écouta. Il apprendra que sa vie ne fut que mensonge, et que sa destinée est tout autre que ces imbéciles boustifailles de gueux. Sa reine mourut. Et la prophétie se réalisa. Oh nan, je viens encore de raconter une histoire, que mes mots m'ont porter et généreusement offert de leur sacrifice. Je veux mordre, sentir mes crocs s'enfoncer dans leurs chairs, les entendre crier, me supplier de les achever, de les tuer, de les épargner, je ne suis pas miséricordieuse alors rien se sera, ils récolteront ce qu'ils se doivent d'avoir, mes petits casse croûte mes goûters, mes dessert de compagnie, agréablement beau, le cou offert à ma punition divine, les enchanté, pour qu'il déchantent les supplicier de désir, et d'horreur, de douleur et de perversions scabreuse que je dispenserai aimablement, déchirant par ci, croquant par là, frappant et poignardant à tout va. Cruelle de vicissitudes infâme, l'œil avisé de leur cris pathétique et de leur corps se tortillant, je touche délicatement, j'observe, et caresse doucement, leur visage, les apaiser pour les tuer. Griffer également, petite souffrances qui les titille lorsque leur bourreau les brusque avidement, heureux de les chevaucher, d'aller et venir, dans une aussi belle chose, un étau accueillant pour eux, un instant où ils se sentent entouré et complet, un. Et puis quand vient la jouissance, balance insensiblement leur hanche, un dernier coup d'éclat. Se retirant péniblement, jetant le jouet au sol, sur le marbre froid du donjon saturés de leur résidu d'existence. Jouet, jouet pleure, qu'il a mal, et se lève quand même tentant dignement de revêtir vêtement, seul rempart pour regagner un semblant de sa fierté bafoué. Puis vidé de tout, va s'endormir et sombrer dans de sombres rêves, jonchés de ces regards écarlate.




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